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- Je veux que mon cancer cesse de se développer, car il me fait du mal ainsi qu'à ma famille et je sais que…
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- Alors, « tu veux que ton cancer cesse de se développer », est-ce que c’est vrai ?
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En es-tu certain ? Est-ce que tu t’es déjà arrêté pour vraiment y réfléchir ?
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Regarde encore une fois. Tu vas peut-être trouver la même réponse,
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je t’invite à y réfléchir…
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« Tu veux que le cancer cesse de se développer. »
- Oui.
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- Est-ce que c'est vrai ? En es-tu sûr ? Reste avec ça un instant…
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- Oui.
- Donc, « tu veux que le cancer cesse de se développer… »
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Ici, nous nous intéressons à des réactions de stress.
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Comment réagis-tu quand tu crois la pensée :
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« je veux que mon cancer cesse de se développer »,
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et que le médecin dit qu'il se développe.
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- Je vis des réactions de stress et de panique, très difficiles.
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- Oui…, oui !
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Donc, donne-moi une raison, dépourvue de stress, pour garder la pensée :
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« je veux que le cancer cesse de se développer. »
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- Je suis désolé, je ne peux pas en trouver une.
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- Il n'y en a pas !
- Ah, ok ! J'en devenais tout stressé !
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- Tu sais, il se peut qu’il y en ait une, et que je ne l'aie pas encore trouvée.
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Je « voyage » avec toi ici…
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Donc, « je veux que le cancer cesse de se développer. »
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Qui serais-tu sans cette pensée,
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vivant ta vie ?
- Je serais ordinaire,
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dans ma propre vie, dans ce qu’elle est…
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- Et chéri, il y a deux façons de vivre ta vie :
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l’une est remplie de stress, comme tu la vis ; l'autre ne l'est pas.
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L'une fait souffrir, l'autre non.
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De toutes les façons, tu la vis !
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- Oui, je la vis, c'est vrai !
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- Donc, « je veux que le cancer cesse de se développer », peux-tu retourner cette phrase ?
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Quel est son opposé ?
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- « Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer… »
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- Maintenant, donne-moi un exemple montrant pourquoi ça pourrait être vrai.
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Donne-moi un exemple montrant pourquoi ça pourrait être une bonne chose.
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- Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer…
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parce que ça m’ouvre des portes, que je n'aurais pas pu ouvrir tout seul.
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Ou bien que je n'aurais pas ouvertes si facilement.
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- Ca en fait une ! Peux-tu en trouver une autre ?
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- Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer, parce que il est en train d'ouvrir mon cœur.
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- Ca fait deux ! Peux-tu en trouver une autre ?
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Si tu peux en trouver deux, tu peux en trouver trois !
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- Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer, parce que je suis
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tellement plus vivant maintenant que je l'étais il y a un an.
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- Si tu peux en trouver trois, tu peux en trouver quatre !
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Ne te satisfais pas de si peu, chéri !
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Tu sais, « aimer ce qui est » est simplement…, je veux dire…,
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ce n'est pas apprécier un peu ce qui est, ou bien que ça plaise un peu,
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ce n'est pas juste accepter ce qui est… C'est tout simplement Bon !!!
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C'est vraiment excitant, et je t’invite à continuer. Encore une !
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- J'en ai deux de plus…
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- Tu sais, je suis là avec toi, je suis toute excitée !
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- Je veux que mon cancer continue de se développer parce que
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je deviens plus qui je suis vraiment, et de cette façon je peux servir les autres,
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d’une meilleure façon.
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- Oui, c'est ça !
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- Considères-tu ça comme une ou deux raisons ?
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- C'est un mélange.
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- Ok, une de plus alors !
- Ok.
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- J'aurais du faire ça il y a bien longtemps.
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Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer, parce que je vais devenir
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le meilleur amant du monde pour ma future femme !
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- Maintenant, c'était… ,je ne veux pas que… , très bien, ok !!
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- Merci.
- C'est excitant, c'est vraiment excitant !
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Et il y a encore plus !
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Tu médites parfois, assis ? Ok, chéri,
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voyage par là…, il y a encore plus !
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